L’activité économique en France a été accélérée au troisième trimestre de 2024, avec une croissance trimestrielle de 0,4%, contre 0,2% en T1 et T1. Cette augmentation s’explique par les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, estimé qu’ils ont ajouté 0,2 point de pourcentage à la croissance du troisième trimestre. À la fin du troisième trimestre, la croissance du rapport pour 2024 était de 1,1%.
L’économie ne devrait pas grandi au quatrième trimestre de 2024 en raison de la poussée des Jeux olympiques de Paris. Cela entraînerait une croissance de 2024 pour toute l’année à 1,1%, inchangée année après année, principalement guidé par les dépenses publiques et les dépenses publiques, la demande privée interne (hors stocks) stagnante. L’inflation annuelle moyenne de l’IPC est passée de 4,9% en 2023 à 2% en 2024. En 2025, la croissance devrait ralentir 0,8% et l’inflation à 1,1%, avec des niveaux élevés qui prévalent d’incertitude qui entravent la croissance moins que prévu initialement, avec la reprise des investissements privés rejetés à 2026 de croissance potentielle. Cependant, l’écart de sortie sera toujours négatif à la fin de 2026. L’inflation devrait se recueillir légèrement, à 1,3%.
Ce scénario est compatible avec l’adoption d’une facture budgétaire en 2025 dans la première partie de l’année (probablement à la fin du premier trimestre), le déficit public qui est réduit moins que le cas aurait été basé sur un solde plus de la grange pour atteindre 6% du PIB en 2025, contre 6,2% en 2024. Il chutera probablement à environ 5,5% du PIB en 2026.

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